Pacte national pour la qualité de l’éducation : les documents transmis au Parlement

Le ministère rappelle que cette démarche a été déjà initiée
auprès des différentes composantes de la communauté éducative
(enseignants, directeurs d’écoles, syndicats, associations
socio-professionnelles etc.) depuis le lancement du Pacte en octobre
2015.
Cette action participe du plaidoyer en faveur du Pacte qui a déjà recueilli plus de 25 000 signatures et l’adhésion de différents acteurs clés de la vie nationale. Le Pacte contient sept engagements majeurs dont le numéro 2 qui souligne la nécessite de doubler le financement du secteur de l’éducation.
Le MENFP souligne que les défis actuels auxquels fait face le secteur de l’éducation doivent interpeller tous les acteurs en vue de trouver les voies et moyens pour aborder la question urgente des arriérés de salaire, procéder à l’application de la grille salariale concernant les personnels de l’éducation, à la réhabilitation d’un millier d’établissements scolaires publics fonctionnant dans un état inacceptable, et à la régularisation du Programme de scolarisation universelle gratuite et obligatoire.
Les besoins précités nécessitent un financement supplémentaire de l’ordre de 12, 5 milliards de gourdes, à moyen terme.
Cette action participe du plaidoyer en faveur du Pacte qui a déjà recueilli plus de 25 000 signatures et l’adhésion de différents acteurs clés de la vie nationale. Le Pacte contient sept engagements majeurs dont le numéro 2 qui souligne la nécessite de doubler le financement du secteur de l’éducation.
Le MENFP souligne que les défis actuels auxquels fait face le secteur de l’éducation doivent interpeller tous les acteurs en vue de trouver les voies et moyens pour aborder la question urgente des arriérés de salaire, procéder à l’application de la grille salariale concernant les personnels de l’éducation, à la réhabilitation d’un millier d’établissements scolaires publics fonctionnant dans un état inacceptable, et à la régularisation du Programme de scolarisation universelle gratuite et obligatoire.
Les besoins précités nécessitent un financement supplémentaire de l’ordre de 12, 5 milliards de gourdes, à moyen terme.
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